samedi 25 février 2012

Tu sais quand tu arrives dans la ville du gala national, que l'exitation est palpable dans le bus, que ça fait des heures et des heures que chaques danseuses attendent ce moment. Tu sais quand tes profs de danse vont chercher votre numéro de loge, de passage aux irépétitions, et de passage sur scène. Tu sais quand tu arrives avec toute ta troupe de danseuse devant la porte de cette loge où est inscrit en gros le nom du club et la ville représentée. Tu connais cette fierté à cet instant précis? Et tu sais quand c'est au tour de ton club de passer aux répèts, et puis les heures après le passage sur scène où les juges te regarderont et te jugeront sur ta prestation, tu sais ces heures de stress intense, ces heures de préparations, maquillage, tenue, tout y passe parce que tout doit être parfait. Tu sais cette adrénaline avant de monter sur cette scène devant ces centaines de personnes, et puis le voilà ce fameux moment où ils annoncent ton nom, que tu sors des coulisses, et que la musique démarre. Plus rien n'existe en dehors du rythme et des battements de cœur, tu danses comme jamais, tu te donnes à 1000% et pourtant à tes yeux ce n'est toujours pas suffisant. Et puis la musique s'arrête, tu attends les applaudissements pendant quelque secondes, quelque secondes qui semblent durer toute l'éternité parce que l'avis du public et des juges c'est surement la seule chose qui a de l'importance à présent. et puis voilà, tu entends les cris de joie, les applaudissements, et tu souris encore plus, tu te retournes et t'en va dans les vestiaires, et là tu pleures, tu hurles de joie, tu donnerais touy pour retourner sur cette scène qui t'a tant térorisé. Tu connais l'attente des résultats, et cette annonce "Les juges vont revenir d'ici quelques minutes." et voilà, ils sont là, debouts sur scène, applaudits par les spectateurs et les danseurs qui meurent d'impatience. À chaque fois que mes juges annoncent un intitulé de prix, tu croises les doigts pour être la gagnante, et ils ennoncent le nom de ton club, ton club! Alors tu sautes de joie, tu hurles, tout le monde te regarde, les gens se levent sur ton passage, quand tu descend récuperer ton prix. Et viens le prix ultime, le prix le plus magique, le plus dure à obtenir aussi, le coup de cœur des coups de cœur, tu restes scotchée aux lèvres des juges, ils vont annoncés le vainqueur, sur des dizaines de club qui viennent de partout en France, deux seuls seront récompensés. Et le notre en faisait partie. La fierté, le bonheur à l'état pure. La récompense de tout ces efforts. Tout devient magique. La danse est un art, un art à part entière, un bonheur infini.
« C'est qui les meilleures? C'est nous! »

Et quand la douleur est si forte, qu'elle te transperse, qu'elle te berce, et que tu t'endors dans ses bras.




« Et dès qu'elle entend son nom, elle relève la tête, l'air de rien, et on peut encore voir des étoiles briller dans ses yeux.. »




« On s'était quitter en mauvais termes. Entre ces mots qui blessent et la peur de te perdre .. J'ai tout jeté mais l'amour est resté en moi. »




jeudi 23 février 2012

- Scientifiquement parlant, il est gravitationnellement impossible de tomber en amour.«Arrêtez de dire "s'il t'aime il reviendra", parce que s'il t'aime il s'en va pas.»




«- J'aimerais te dire à quel point tu m'es essentiel, à quel point ta présence est devenue mon addiction personnelle et à quel point je suis folle.Folle de tout mais tellement de toi...»




On crevera tous d'avoir trop aimer ou d'avoir trop pleuré. De toute façon, on crèvera.




rock'n roll baby (ok,jesuisunekikoulolrefouléequichantejimmydemoriartyavecsasoeur)











Je suis tombée amoureuse d'une personne fantastique, d'une personne magnifique. magnifique par sa beauté mais aussi par son esprit et son âme. tout était beau, facile, différent, incomparable, uthopique, enviée, aimée avec lui. même nos engueules étaient belles parce qu'elles ne duraient qu'un instant, peut importe la violence de nos actes et de nos paroles, rien n'était plus merveilleux que de se retrouver. au début, on se détruisait, on se rendait jaloux et on testait l'autre, et au fur et à mesure tout est devenue si concret, si raisonné tout en restant une surprise. chaques mots étaient un cadeau, chaques actes étaient un présents. il était mon toujours, mon amour, mon amour. la distance sépare tout les amours, même les plus fous. et je crois que notre amour était le plus magique de toute ma vie, tu me portais, tu m'élevais, tu faisais de moi quelqu'un de si souriant, je n'avais jamais été aussi heureuse. et c'est aussi surement pour ça que quand je t'ai perdu, j'ai eu l'impression d'exploser, j'ai eu l'impression que l'on m'arrachait le cœur dans ma poitrine. c'était si émotionnel. et c'est fini. mais le pire dans tout ça, c'est que la seule chose qui me reste de toi, sont des photos et des conversations jusqu'à tard le soir. tu étais mon tout, je ne t'oublierais jamais.